Publisher's Synopsis
Cher Lecteur, s'informer, écouter, parler, se documenter, enquêter, protester, dénoncer, manifester, philosopher, c'est génial et indispensable si nous voulons nous sentir vivants et au courant, certes. Mais je suis navré d'objecter, comme beaucoup d'investigateurs, de statisticiens, de scientifiques, de journalistes et d'honnêtes observateurs, que ce n'est désormais plus assez. La réalité est que nous ne pouvons plus déléguer et laisser notre avenir dans les mains d'une poignée de gens à la tête de notre nation dont la fonction surréaliste est de dilapider nos impôts, d'hypothéquer notre pays et de vendre ou de détruire nos biens tout en s'évertuant consciencieusement de nous empêcher de vivre la seule et unique existence qui nous a été offerte lorsque nous sommes nés. Réveillez-vous ! Bon sang. Arrêtez d'être les dindons de la farce ! À chaque enquête, à chaque publication, nous apprenons une nouvelle entourloupe perpétrée par les cols blanc. Dernièrement, la petite fourmis Denis Robert nous informe avec preuves à l'appui, mais cinquante ans trop tard, que TOTAL et notre gouvernement savait parfaitement ce qui allait se passer au niveau climatique. Hélas, ce n'est plus un scoop que d'affirmer que tous les États du monde mentent à leur population pour du pouvoir et du pognon. C'est devenu mondialement flagrant. Le coronavirus et la vaccination qui va avec, sont de vulgaires prétextes. La reconnaissance faciale, le passe sanitaire, l'indispensable portable et tous les autres gadgets électroniques modernes sont les nouveaux instruments digitaux du fascisme moderne. Les gouvernements se sont tous métamorphosés secrètement en gardien de prison parce que pour eux, c'est devenu le souk chez eux. Là-bas, dans les palais, les dictateurs se sont vite aperçus qu'ils n'arrivaient plus du tout à maîtriser correctement les situations in situ, ni les millions de gens qui se déplaçaient partout à la fois et en même temps. Qu'il leur était de plus en plus difficile de contenir des foules capricieuses, toujours plus nombreuses, qui tels des enfants gâtés, n'en finissaient jamais avec leurs revendications pour une vie meilleure. Alors comme les salopards en ont eu l'occasion avec la covid-19 qui a tout stoppé...À suivre.
