Publisher's Synopsis
I Ô ne blasphème pas, poète, et souviens-toi. Certes la femme est bien, elle vaut qu'on la baise, Son cul lui fait honneur, encor qu'un brin obèse Et je l'ai savouré maintes fois, quant à moi. Ce cul (et les tétons) quel nid à nos caresses ! Je l'embrasse à genoux et lèche son pertuis Tandis que mes doigts vont, fouillant dans l'autre puits Et les beaux seins, combien cochonnes leurs paresses ! Et puis, il sert, ce cul, encor, surtout au lit Comme adjuvant aux fins de coussins, de sous-ventre, De ressort à boudin du vrai ventre pour qu'entre Plus avant l'homme dans la femme qu'il élit,