Publisher's Synopsis
la transcendance poétique, amoureuse, nos émerveillements rythment les meilleurs moments de notre vie. D'illustres auteurs m'ont influencé, Gustave Flaubert, Guy de Maupassant, l'école du Parnasse, la gouaille de Montmartre, le parler populaire de Belleville. Mais témoigner de la bêtise du temps présent reste le devoir de l'éternel insurgé qu'est le poète.Un hommage à ses pairs est la moindre des politesses: à mon père Jean-Christophe FAHY, comédien dans l'âme et poète maudit, à ma mère Liliane MARECHAL, qui ne rêvait rien de plus que de dessiner, écouter France Culture à la radio, jouant jeux interdits à la guitare, à l'écriture instinctive, à Charles Baudelaire qui taquinera la muse jusqu'à la déraison, à Michel HUET, enseignant, poète qui m'envoya quelques textes et (Leaves of Grass) de Walt Whitman. L'écriture reste un défi, un art acrobatique qui jongle avec le concept, l'intuition et la logique, de ce fait le poète se doit d'être lanceur d'alerte, d'avant garde, de dénoncer, d'avertir de la toxicité d'une Société en perte de repères, qui au motif de confort immédiat, consent à polluer son environnement. Dans un contexte de doute, d'incertitude, l'homme éprouve le besoin de renouer avec la poésie, comme un chant endormi qu'il redécouvre en lui, qui peut devenir facteur d'équilibre, source de paix intérieure, contribuant à renforcer notre capacité de résilience. L'homme ne peut se dissocier de sa sphère cognitive émotionnelle qui génère parfois des informations négatives; il en résulte un profond découragement. Un mode de vie, des valeurs saines, toniques, de l'humour, distanciation, contribuent à notre épanouissement, la lecture, méditation, la poésie au même titre qu'un parc arboré, peut constituer un dérivatif utile, souvent instructif à notre cheminement spirituel.