Publisher's Synopsis
Dans cette première partie du roman, le conteur parle de ses relations à Paris, notamment avec M. de Norpois ou avec son idole érudite Bergotte. De la même manière, il se rend au théâtre de façon inattendue et observe enfin l'artiste-interprète qu'il chérit tant, la Berma, jouant au théâtre la pièce Phèdre de Racine. À ce stade, il a la chance de connaître Swann et ses relations avec Gilberte Swann et ses parents (Odette de Crécy et Charles Swann) sont également décrites. Charles Swann le prend sous son aile, et est exceptionnellement merveilleux avec lui, à peu près comme son autre homme important pour lui: Balbec. Le conteur s'installe avec sa grand-mère et Françoise, leur ouvrière, dans un logement pendant un certain temps. Au début, il se sent perdu, il ne connaît personne, il ne converse avec personne en dehors de sa grand-mère, en dépit du fait qu'il est exceptionnellement enthousiaste. En tout cas, des relations, avec Robert de Saint-Loup et le peintre Elstir entre autres (qui est l'artisan compagnon de Verdurin dont il est question dans un autre roman de Proust), le narrateur a finalement trouvé comment nouer un lien de parenté avec les jeunes filles qu'il cherchait depuis un bon bout de temps: Albertine, Andrée, Rosemonde ... Il tombe désespérément amoureux d'Albertine qu'il s'efforce de rendre jalouse en se rapprochant d'Andrée, mais l'ensemble de ses efforts sera réduit à néant, dans un ultime effort pour changer leur relation vers la fin du livre.