Publisher's Synopsis
Le monde de la mode, l'univers des petits créateurs de mode ouvre sa porte. C'est mon oeil qui vous dévoile ce qu'il a bien voulu découvrir. La mode, selon mon petit bout de lorgnette, se montre, s'expose et s'exhibe.
Des créateurs de minijupe, peut-être trop courte, si vous regardez trop les détails, de chemisiers échancrés, mais vraiment beaucoup, des habits en cuir ou en latex, ce sont des tissus aussi beaux que le coton. Des tenus de la mode fétiche.
Sophie téléphonée à Marie, elle commence sa phrase tu ne sais pas quoi, les derniers potins des endroits branchés, de l'université. C'est souvent des fausses nouvelles. Elle lui apprend que le père de Gaëlle a été incarcéré. La justice le soupçonne d'un meurtre. Un incendie s'est déclaré au sein de sa garçonnière, on y a retrouvé un corps carbonisé. Il nie toute implication, et il déclare qu'il n'y a pas séjourné depuis au moins plusieurs semaines.
Il possède un alibi, tous les jours il rencontre une personne âgée nommée Gaston, il promène son chien nommé sergent major, il aime l'armée et les marches militaires. Ils discutent souvent ensemble.
La police découvre que le bail de l'appartement fut signé par une femme qui a disparu. Lors de la signature de ce contrat, elle a un numéro de téléphone, dont l'abonnement fut passé par une autre qui a aussi pris la poudre d'escampette.
La mère de Gaëlle a déclaré qu'il avait une maitresse qui elle aussi a préféré prendre le large.
La boite aux lettres a gardé des traces d'adresse d'une autre dame qui à préféré se dissimule.
Marie, jeune fille au bon coeur, remplie d'empathie, décide de mener une enquête, elle veut prouver que le père de Gaëlle est innocent.
Avec Gaston, et Gaëlle, elle part à la recherche de la vérité sans vraiment où elle mettait les pieds.
Gaëlle est étudiante en sociologie, ce n'est pas du tout sa vocation, mais les services de l'éducation ne lui ont offert que cette voie. Elle s'y ennuie. Elle a un frère, elle ignore si elle doit lui donner un nom de fille. La rumeur le qualifie de gay. Sa mère prend un somnifère tous les soirs à vingt heures, elle plonge dans un sommeil où rien ne l'en extirpe. On est si bien bien dans les bras de Morphée.
Gaëlle suit une formation dans les métiers de la mode, elle aime les tissus, les fils, les aiguilles. Elle adore dessiner des modèles et les réaliser. Elle sera une petite main au sein d'une maison de haut Couture. Elle en rêve.
Sa tante a un atelier de couture, elle crée des modèles et les vend, parfois, elle les façonne. On aime coudre au sein de la famille, on ne risque pas de se retrouver à poil au milieu de la rue.