Publisher's Synopsis
Voici la suite des aventures mémorables de Maurin des Maures, dont on sait qu'il a beaucoup d'ennemis et qu'il ne se méfie pas assez des femmes ( c'est son péché, comme dit Parlo-Soulet). Voici donc notre prince des braconniers de nouveau lancé dans de maudites, affaires, des procès-barbaux à n'en. plus finir, tout cela parce qu'il s'obstine à prendre parti pour la justice juste contre les coquins et les imbéciles qui - nul ne l'ignore - sont légion. Une vraie force de la nature, ce Maurin, chasseur, bravadeur, irrespectueux des lois et des gendarmes, galéjeur jusque dans le tragique, jusque dans la mort. Pour raconter ces histoires héroï-comiques, batailleuses et justicières du roi des Maures, l'auteur ne s'est laissé guider que par son plaisir... et pour le nôtre. Jean François Victor Aicard, né le 4 février 1848 à Toulon (Var) et mort le 13 mai 1921 à Paris, est un poète, romancier et auteur dramatique français. Ses parents Son père était un républicain saint-simonien, rédacteur dans des journaux d'opposition sous la monarchie de Juillet. Il meurt quand son fils a cinq ans. Sa mère n'a pas reconnu son fils. Biographie Un coin de table, où Jean Aicard est présent (debout à droite) aux côté de Rimbaud et Verlaine. Jean Aicard naît le 4 février 1848 à Toulon (Var). Une plaque signale sa maison natale. Il fait ses études à Mâcon, où il fréquente Lamartine, puis au lycée de Nîmes, puis en droit à Aix-en-Provence. Venu à Paris en 1867, il y publie un premier recueil, les Jeunes Croyances, où il rend hommage à Lamartine. Le succès qu'il rencontre lui ouvre les portes des milieux parnassiens, grâce à son cousin, Pierre Elzéar. En 1869, il collabore au deuxième recueil du Parnasse contemporain. En 1870, une pièce en un acte est produite au théâtre de Marseille. Pendant la guerre, il reste à Toulon dans sa famille. Après la guerre, il assiste aux dîners des Vilains Bonshommes et participe à la création de la revue La Renaissance littéraire et artistique. En 1874, il publie Poèmes de Provence, qui font de lui le poète de cette région. En 1876, il collabore au troisième recueil du Parnasse contemporain. En 1894, il devient président de la Société des gens de lettres. Le guide Paris-Parisien, qui le considère en 1899 comme une notoriété des lettres, note le romantisme méridional [5] de son oeuvre. En 1909, il entre à l'Académie française au fauteuil de François Coppée. Il est élu maire de Solliès-ville en 1920. Jean Aicard meurt le 13 mai 1921 à Paris. Jean Aicard est l'un des poètes représentés sur le tableau Coin de table (1872) de Henri Fantin-Latour.
